Faire de la morphologie spatiale un outil de compréhension et de critique de la société est une manière connue de la pensée urbaine. L’exemple le plus évident réside dans le postulat lefebvrien de la production de l’espace. L’intérêt du récent ouvrage dirigé par Marc Dumont et Emmanuelle Hellier – Les nouvelles périphéries urbaines : formes, logiques et modèles de la ville contemporaine(2010) – consiste dans ce que ce schème est mis au travail autour de la transformation des périphéries urbaines, suivant un postulat voulant que ces espaces soient un analyseur des mondes contemporains. Lire la suite sur le site de la revue Cybergeo : European journal of geography.