Comment faire sens du jugement esthétique dans la délibération politique en matière d’aménagement ? Comment associer les acteurs de la ville (i.e. les habitants, les usagers…) à l’aménagement et aboutir tout de même à des décisions novatrices ? Genève n’est pas coutumière des gestes architecturaux innovants. Un débat doit-il s’engager sur les stratégies à mettre en œuvre pour aboutir à la construction d’un bâtiment réellement novateur qui fonctionne comme la marque de notre époque ?